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Dans cet article, Ümit Kurt explique que, sous les périodes ottomanes et républicaines turques, une série de lois et de décrets concernant l'administration des biens laissés par les Arméniens ottomans qui étaient déportés en 1915 a été publiée. Ces lois et statuts étaient connus comme les « Lois sur les propriétés abandonnées » et la majorité de ces textes a été émise dans la période républicaine. Selon l’historien, la République de Turquie et son système juridique ont dans un sens été construits sur la saisie de la richesse culturelle, sociale et économique arménienne, et la suppression de la présence des Arméniens sur le territoire turc.
Cet article expose de manière critique les thèses publiques qui ont actuellement cours et les actions en justice pendantes en ce qui concerne les réparations individuelles ou collectives réclamées par des institutions ou des particuliers arméniens de diaspora.
Dans cet article, paru sur le site USA Armenian Life, Appo Jabarian affirme que l’Arménie et le Karabakh sont plus démocratiques que la Diaspora puisqu'elle ne possède aucun système démocratique d'élection au suffrage universel. Il critique le fait que des dirigeants d'organisations politiques et religieuses s'autoproclament "représentants" bien que le total des membres des organisations ne dépasse pas les 5% de la totalité des Arméniens de Diaspora.
La tradition du Kirvé fait partie des aspects peu connus des relations kurdo-arméniennes d’avant 1915. Namık Kemal Dinç, co-auteur avec Adnan Çelik, du livre « La lamentation d’un siècle, 1915 Diyarbakir » (publié en turc sous le nom de “Yüzyıllık Ah, 1915 Diyarbakir” aux éditions Fondation İsmail Beşikçi, 2015), qui traite de la mémoire collective relative au génocide arménien dans la région de Diyarbakir, explique le sens de la tradition du Kirvé, sa fonction sociale et sa place dans la mémoire des Kurdes et des Arméniens.